Elle repousse alors son mari violemment et sa bouche se jette sur ma queue, elle me suce en bavant comme une truie, tellement fort qu’elle me fait mal cette salope. « J’aime ta bite Alex, c’est une bite comme ça que je veux dans mon cul et dans ma chatte, pas une queue de fiotte ! ». Elle s’installe alors face à moi à califourchon « Baise-moi, montre-lui comment on baise une femme à ce bâtard ».
J’ai à peine le temps de mettre une capote qu’elle chevauche déjà ma queue. Ses cris vont alerter tout l’immeuble « Vas-y, défonce-moi la chatte avec ta grosse bite, fourre moins bien à fond, baise moi je suis à toi ». Et elle s’agite, ses gros seins brinqueballent sous mes yeux, je les prends à pleine main et je lui bouffe littéralement tandis qu’elle continue ses va et viens en s’empalant de tout son poids. Ma queue est un véritable bout de bois, elle m’embrasse maintenant en bavant, sa langue s’introduit dans ma bouche, c’est une vraie nymphomane en rut que j’ai au bout de la bite. Finies les petites manières, j’ai affaire à une grosse salope vulgaire.
Au bout de 10 minutes, elle se lève, se retourne sur le canapé « Encule-moi Alex, montre à ce pédé à petite bite comment on encule une femme ». Elle bave une bonne giclée de salive dans sa main et se lubrifie l’anus, puis fouille sa chatte et mouille à nouveau sa rondelle puis se rentre deux doigts dans le cul d’une traite.
La vue de ce cul magnifique et bronzé, ses bas, sa guêpière d’où pendent ses gros seins, ses talons, tout cela me rend folle (il est vrai qu’il y a 20 ans je bandais bien plus qu’aujourd’hui, mais là, cette salope me fait triquer à en avoir mal).
« Vas-y Alex, pine-moi sans hésiter, mon cul n’attend que ça, voilà 3 mois que je dois me contenter de la petite queue de ce petit pédé, je veux une vraie bite, bourre-moi, fourre-moi, je n’en peux plus d’attendre » dit-elle en regardant son mari.
Comment résister à un tel appel, surtout en voyant ses mains écarter sa rondelle, son gros cul est un appel à la bite, je ne me fais pas prier et je rentre sans effort, madame à visiblement de l’expérience. Elle lâche tout de même un petit cri, mais reprend ses propos orduriers à peine suis-je au bout. « Vas-y, défonce moi le cul, baise-moi comme une chienne, depuis le temps que j’attends ça, montre à cette lopette comment on encule une femme, ramone-moi, éclate-moi le cul, encule-moi Alex ».
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